Depuis le 18 juillet, Izon Vayres a repris les entraînements afin de se préparer au mieux au niveau Régional 2. Ce n’est pas la première fois que le club au maillot rouge et jaune atteignent ce niveau puisque par le passé, ils ont joué en DSR. Alors, pour ce nouvel exercice au deuxième niveau régional, l’important est selon Nicolas Sarrat, entraîneur avec Claude Hardy, de « s’adapter à ce niveau. Cette année, nous sommes repartis avec des nouveautés. Nous étions habitués à aller dans les Pyrénées et désormais nous allons aller au Nord, en Charente et autre.

Et la découverte commence avec un déplacement de 3 heures, à Feytiat. « Ce sera un bon dimanche, rigole Nicolas Sarrat. C’est dans ces moments là que l’on rêve de jouer le samedi« . A côté des longs déplacements, ce sont aussi des nouvelles équipes. « Nous partons dans l’inconnu car la majorité des équipes de la poule, nous ne les connaissons pas mis à part Bergerac la Catte, Libourne B et Antonne le Change que nous avions dans la poule. Mais nous allons y aller petit à petit en observant que c’est une poule compliquée« , précise Nicolas Sarrat.

Pour le premier match de régional 2, Izon Vayres a cartonné contre Bergerac la Catte. Une victoire 5-1 qui surprend le technicien : « Bergerac la Catte était invaincu depuis 13 journées. On savait que cette équipe avait recruté. Mais nous avons réussi à mettre les ingrédients pour l’emporter« , se réjouit-il.

Avant le match contre Feytiat, Izon Vayres, qui a réussi à conserver l’ensemble de son groupe, ne change pas les recettes : « on sera obligé d’aborder cet inconnu en restant dans notre style de jeu. On ne changera pas notre fonctionnement et alors nous concentrer sur notre façon de faire. Aujourd’hui, nous réalisons des débuts intéressants mais une saison est longue. Alors si on peut prendre quelques points… On ne va pas à Feytiat pour faire de la figuration mais pour rivaliser et poursuivre la bonne dynamique. En tout cas, je félicite les garçons pour le démarrage du nouveau challenge. Je leur dit un grand merci. Et il faut continuer sur ces bases« .